Où suis-je?

Ça fait plus de trois mois que je ne donne pas de nouvelles. Que voulez-vous, le temps passe vite quand on travaille! 😛

Premièrement, je travaille depuis la fin juillet comme bibliothécaire à la Direction des bibliothèques de l’Université de Montréal. Plus précisément, sur le projet pilote des thèses et mémoires électroniques. C’est un contrat de six mois comme surnuméraire pour commencer, on verra pour la suite.

De plus, si vous êtes en mesure de lire ces lignes (via RSS ou directement sur le site) c’est que j’ai réussi le transfert de mon compte WordPress.com vers une installation personnelle de WordPress chez un hébergeur. Je n’avais aucun problème avec la version gratuite, je souhaite seulement avoir plus de flexibilité dans sa gestion. Je vais notamment travailler sur l’apparence visuelle, qui est temporaire pour le moment.

Donc, restez à l’affut des mises à jour, j’ai la tête qui bouillonne de sujets et d’informations à transmettre et mon blogue va continuer d’être l’endroit où je pourrai retranscrire mes réflexions à livre ouvert.

En passant, merci à tous ceux qui m’ont exprimé leur appréciation pour mon blogue, c’est ce type d’encouragement qui me pousse à continuer.

Quel avenir pour monmemex.com?

Long silence depuis l’avertissement de mai et le dernier billet de juin.

Je voulais simplement vous tenir informé que je suis à réfléchir sur l’avenir et la teneur de mon blogue. Je réfléchis aux sujets qui y seront traités prochainement et comment l’utiliser dans ma nouvelle vie professionnelle.

Je songe à rafraichir l’apparence visuelle et intégrer de nouveaux outils. Peut-être ajouter des collaborateurs?

La réponse devrait être dans mon prochain billet. 🙂

D’ici là, il faut profiter de l’été! 😀

Stagiaire pour 35 jours

Depuis une semaine, j’ai commencé mon stage en milieu professionnel. C’est une partie importante de ma formation à l’EBSI. J’ai la chance, pour ne pas dire l’honneur, d’être accueilli au Bureau des systèmes de la Direction des bibliothèques de l’Université de Montréal. Je suis donc en mesure de vivre la vraie vie d’un bibliothécaire système et de subir les conséquences de mes choix.

Je vais donc délaisser volontairement mon blogue pour concentrer mes énergies ailleurs. Je ne publierai rien avant la mi-juin au plus tôt. (OK, je vais peut-être tester Twitter au congrès de la CBPQ, mais ça ne compte pas.)

J’ai désactivé les commentaires sur ce billet et je vous invite à me contacter par courriel à l’adresse patrickmlozeau[arobas]gmail.com si vous avez des questions ou des commentaires.

Si ce n’est pas déjà fait, je vous suggère l’abonnement au fil RSS pour être informé de la reprise des activités régulières de mon blogue.

Les macs ne sont pas infaillibles

R.I.P.,

2006-08-15 ~ 2008-01-14

Le lundi 14 janvier, le disque dur de mon ordinateur a pris sa retraite de ce monde. Il a emporté avec lui plusieurs de mes souvenirs numériques sous la forme de textes et de photos. J’ai bien des copies de sauvegardes de documents plus importants dispersées à travers différents endroits, mais mon portable demeure le centre névralgique de mon organisation. J’ai donc passé les derniers 48h à reconstruire mon système et récupérer l’essentiel.

Étrangement, le premier réflexe serait de modifier mes habitudes de travail et d’être plus assidu sur mes copies de sauvegardes. Bien que je vais le faire, car la nouvelle version du système d’exploitation de la compagnie favorite des pomiculteurs offre une application dédiée à l’opération. J’ai surtout modifié mes habitudes pour employer des applications qui sont offertes dans « le nuage« . Car dans les faits, ce sont les applications comme ce blogue, mon courriel, mes comptes photo et toutes ces nouvelles fonctionnalités qu’offre le Web 2.0 qui ont survécu à la mort de mon disque dur.

Microsoft l’avait vu venir il y a quelques années, Google le fait actuellement et la plupart des SOA s’orientent de cette façon. L’avenir est dans un retour vers le passé. Nos ordinateurs seront de simples terminaux pour accéder à nos applications qui vivront sur le Web.

Mea culpa: j’ai fait de l' »hotlinking »

Lundi dernier, je publiais deux billets qui contenaient des images. En fin d’après-midi, je m’aperçois que les images ont disparu. Je me presse de rétablir la situation en déposant les images sur un autre espace en ligne.

Ce qui est arrivé, c’est que je dépose mes images sur mon compte Picasa Web rattaché à mon compte Gmail que j’utilise pour administrer mon blogue. J’utilisais par la suite la fonction WYSIWYG de l’interface de la plateforme WordPress pour ajouter mes images dans mon texte. J’utilisais simplement le lien direct vers l’image. C’est ce qu’on appelle du « Deep linking« . Cependant, je ne m’aperçois pas que WordPress ne donne pas de référence vers le site original lorsqu’on clique sur l’image. Je commets donc l’erreur (pour ne pas dire crime) de faire de l’« hotlinking » avec mes propres images, mais avec un espace qui m’est alloué par Google.

Après vérification des différentes conditions d’utilisation (Terms of Use) de plusieurs fournisseurs d’espace d’entreposage en ligne pour des photos, dont Flickr, Zooomr, Picasa Web et PhotoBucket, je réalise que je suis dans le tort. Je dois me résigner à modifier ma technique pour ajouter des images dans mes billets.

C’est pourquoi que maintenant, quand vous cliquez sur les photos, vous tomberez dans mon espace Picasa Web. Je donne ainsi plein crédit à Google pour l’entreposage et la bande passante rattachée à ces… mes… ses… images. 😉