There are solid arguments to be had about how to balance individual and collective rights to data ownership. Those arguing that we should simply become “data shareholders” and earn a financial return on our data, with Facebook and Google continuing to mine it for advertising or other purposes, should perhaps grapple with the fact that full value of such data emerges only once it’s aggregated across many individuals (even more so in the case of using it for machine learning), so one cannot simply take the total revenue of these companies and divide it by the number of individual users to figure out what each of us is due. Plus, a lot of the data that we generate, when we walk down a tax-funded city street equipped with tax-funded smart street lights, is perhaps better conceptualised as data to which we might have social and collective use rights as citizens, but not necessarily individual ownership rights as producers or consumers.

After the Facebook scandal it’s time to base the digital economy on public v private ownership of data

But the Stream, mobile applications, and moving images: They all show a departure from a books-internet toward a television-internet. We seem to have gone from a non-linear mode of communication — nodes and networks and links — toward a linear one, with centralization and hierarchies.

Un extrait du texte d’Hossein Derakhshan : “The Web We Have to Save”.

Très intéressant d’avoir la perspective d’Hoder qui a passé six années en prison et qui peut comparer le web avant et après sa détention.

Je dois admettre qu’à la lecture de ce texte, je me questionne sur ma “consommation du web” et l’abandon de ce blogue depuis 2 ans.

Yet that’s the most common complaint I hear about inbox-style RSS readers such as Google Reader, NetNewsWire, and Reeder: that people gave up on them because they were constantly filled with more unread items than they could handle.

If you’ve had that problem, you weren’t using inbox-style RSS readers properly. Abandoning the entire idea of the RSS-inbox model because of inbox overload is like boycotting an all-you-can-eat buffet forever because you once ate too much there.

Un extrait du billet de Marco Arment : “The power of the RSS reader”.

L’analogie d’Arment me rappelle la citation de Clay Johnson que j’ai partagé l’année dernière.

Je me désole de lire tant de personnes s’exprimer encore sur le livre numérique en se basant uniquement sur des impressions personnelles, sans s’y être vraiment intéressé et sans jamais faire d’efforts pour appuyer leurs opinions sur des faits. […]

Et quand on me dit que l’industrie du livre a déjà suffisamment de défis à relever avec le livre imprimé et qu’on pourra s’occuper du numérique plus tard, quand on aura repris le dessus avec le bon vieux livre papier (« parce que de toute façon, le numérique c’est encore marginal »), je ne peux que soupirer, très profondément.

Cette citation est tirée d’un billet sur le blogue personnel de Clément Laberge.

Comme acteur qui gravite autour de l’industrie du livre, je partage cette analyse en y ajoutant ma propre inquiétude.

En bibliothèques, on tente tant bien que mal d’expliquer à nos abonnés, que les livres ne sont pas disponibles en numérique ou pire, ne sont pas offerts aux institutions pour le prêt. C’est ça la réalité actuelle.

Ce matin débute Access Conference 2012. Je me souviens encore de la journée où je suis tombé sur la présentation d’Amanda Etches-Johnson à Access 2007. Depuis ce jour, je m’étais promis d’y assister dans le futur. Ce matin, j’y suis. 🙂